Respecter nos Principes

Notre vision collective pour réaliser un mode de vie harmonieux sur la planète Terre pour tous selon la loi naturelle

Ceci est conçu comme un exemple et non quelque chose qui doit être suivi de manière rigide. Chaque assemblée peut avoir des variations plus conformes à sa culture.

Pour une explication de la structure actuelle du cadre de l'Assemblée Communautaire des îles Britanniques (CABI), nous commençons toujours par le plus important en premier et ce sont les assemblées locales sous-tendues par notre vision collective de réaliser un mode de vie harmonieux sur la planète Terre pour chacun selon la loi naturelle par laquelle:

1. Le potentiel de chaque individu est maximisé pour poursuivre sa conscience qui dicte le bien du mal.
   
   
2. Notre conscience est notre interconnexion avec toutes les autres créations et est réalisée initialement en créant une structure qui relie chaque individu aux meilleures connaissances disponibles.
   
   
3. Chaque individu est habilité et soutenus pour remplir leurs obligations les uns envers les autres et envers les générations futures.
   
   
4. Il est garanti que chaque individu minimise les dommages causés à toute autre création.
   
   
5. Chaque individu s'engage, en devenant membre d'une communauté, sur la manière dont il interagira dans toutes ses affaires (créant des devoirs, des droits et des obligations entre chaque individu les uns envers les autres par consentement).
   
   
6. L'acceptation du point de vue de chacun sur ses droits doit avoir une majorité de 80 per cent par chaque collectif relatif pour être acceptée comme un principe fondamental. Si 80 per cent des gens rejettent le principe proposé, alors il peut être restreint.
   
   (Il s'agit de la méthode de prise de décision telle que définie par la loi naturelle selon laquelle 80 per cent est la moyenne de la super-majorité.
   Chaque décision doit être mûrement réfléchie afin que si, par exemple, 81 per cent d'une communauté décident que les tongs devraient être porté toute l'année, qu'arrive-t-il aux 19 per cent qui ont une mauvaise circulation dans les pieds? Forcer les 19 per cent à suivre la nouvelle règle peut causer des dommages et n'est donc pas applicable. La règle des 80 per cent ne peut s'appliquer qu'à où il n'y a aucun risque connu de préjudice.)
   
   
7. Le principe de prise de décision est également utilisé pour régler les différends entre individus et groupes. C'est là que la rationalité est déterminée par des preuves qui soutiennent la meilleure compréhension de ce qui est vrai à tout moment afin que la société puisse imposer sa volonté à n'importe quel individu. Cela garantit que les meilleures connaissances disponibles sont appliquées par chaque individu pour minimiser les dommages aux autres.
   
   
8. Les règles d'interaction et de règlement des différends doivent être ratifiées à tout moment par au moins 80 per cent des membres et ne concernent que les devoirs, obligations dans le cadre de la super-majorité de 80 per cent.
   
   
9. La société n'a aucune obligation envers quiconque au-delà du respect de la règle de la loi naturelle. La meilleure application des ressources du Créateur sous notre contrôle légitime collectif est que nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour nous assurer que chaque individu dispose des ressources nécessaires pour subvenir à ses besoins:

● À l'abri de l'environnement

● Capacité à cultiver de la nourriture

● Accès à de l'eau potable propre (transportable)

● Accès à l'air frais

10. La loi est simple - un individu doit fournir réparation pour tout préjudice qu'il cause sciemment. Si le préjudice est causé parce que l'individu a délibérément et consciemment choisi d'ignorer le meilleur remède disponible de l'humanité, on peut alors considérer qu'il ne fait plus partie de cette société.

Le seul remède que la société peut imposer à un tel individu est de l'exclure de la communauté, en s'assurant qu'il ait un endroit où aller ou qu'un terrain lui soit alloué pour son abri, sa nourriture, son eau potable et son air. Le fait est que dans de tels cas, un individu enfreint son lien avec les autres auquel il a consenti en rejoignant la communauté en premier lieu.